2014

Vendredi 21 novembre 2014, l’ISTIA organise sa 9è Journée des Métiers au Centre des Congrès d’Angers.

Yannick Brochard, Responsable des Opérations, ainsi qu’Anthony Beutier et Damien Lavergne, anciens de l’ISTIA représenteront Absiskey pendant toute la manifestation. Grégoire de Tournemire, Directeur Général, participera à une table ronde sur les métiers du conseil en financement de l’innovation.

Le département de recherche appliquée d’Absiskey a été à la rencontre des acteurs de la 14e édition du colloque ERGO’IA, qui avait pour thème « Design, Ergonomie et IHM : quelle articulation pour la co-conception de l’interaction ? ».

L’ESTIA – École Supérieure des Technologies Industrielles Avancées – organisait de son colloque, les 15, 16 et 17 octobre 2014, à Bidart.

Il semblerait que l’économie numérique envahisse la planète sans que la France ne s’en préoccupe. La dernière crise avec les Etats-Unis sur la sécurité des informations nous a amenés à constater que le numérique est trop souvent associé à internet et ses applications grands publics. Le numérique n’est pas à envisager sous l’angle strict d’internet et de l’outil pour atteindre le réseau, mais plus largement comme une économie qui supplante bien des activités sans même que nous ne nous en apercevions. Par exemple, dans l’univers de l’audio-visuel, des transports, de la justice ou l’agriculture, les technologies changent très vite et les impacts sur nos vies sont de plus en plus puissants. Le plus important n’est pas que de nombreuses activités disparaissent ou soient remplacées à cause du numérique, mais que nous ne nous en rendions pas compte.

L’innovation et le numérique ne sont pas entièrement inclus l’un dans l’autre, mais il est vrai qu’ils se  tutoient dans de nombreuses situations. En effet, l’ère numérique, bien qu’ayant commencée depuis le haut débit, est en constante et très forte évolution. Pour ne prendre en compte que la problématique du stockage d’information, selon certains analystes et observateurs comme la Société Française de Statistique, « 3 ans est aujourd’hui le temps nécessaire pour doubler le volume d’information produit par l’humanité ». D’autre part, toujours selon la SFdS, « on estime qu’en 2007, plus de 300 exaoctets (1018) de données étaient stockées sur des supports numériques et moins de 7% de toute l’information existante l’était sous format analogique (format papier, photos, films, etc.). Sept ans plus tôt, en 2000, cette proportion était encore de 40%. Elle ne devrait plus être que de 2% en 2013 ».

Il semblerait que ces informations soient suffisamment significatives pour encourager nos dirigeants à monter dans le train du numérique et profiler nos territoires en conséquence.

Le numérique a d’énormes impacts sur pratiquement tous les domaines de nos vies. Pour s’en convaincre, il faut s’imaginer nos vies sans web, sans haut débit, sans GPRS, 3G ou 4G, sans wifi, sans clé USB et repasser au scan toutes les activités dépendantes du numérique,… seuls la course à pied et le théâtre de rue résisteront peut-être à ce filtre ! Dans un deuxième temps, il est intéressant de regarder qui a inventé ou développé ce nouveau monde. Plus encore que l’Europe, la France était très en avance à la fin de année 90 grâce à un investissement très lourd des pouvoirs publics (sur les réseaux mobiles par exemple), mais dès le milieu de la dernière décennie, un ralentissement s’est fait sentir tandis qu’une expansion formidable arrivait des Etats-Unis et de certains pays d’Asie ;

Notre propos est d’encourager une réelle prise de conscience que la France ne montera pas les marches de l’économie numérique comme un bateau monte avec le niveau de l’eau. Prendre conscience de son importance par la formation, si ce n’est l’information, et orienter les politiques publiques vers un encouragement numérique, sont de toute première importance car le numérique n’est pas une activité à part, il est présent à chaque instant dans notre quotidien.

Découvrez en avant-première notre nouvelle identité :

Le projet BRIIO a été retenu dans le cadre du 18ème appel à projet du FUI.  Ce projet de 36 mois regroupant 4 partenaires autour de la thématique des produits bio-sourcés est co-labellisé par les pôles AXELERA et FIBRES.

Après les premières rencontres parlementaires pour l’innovation qui ont eu lieu le 9 octobre 2013, Absiskey se rend le 7 octobre 2014 au deuxième rendez-vous qui nous est donné par Anne-Yvonne Le Dain et Patrick Hetzel.

Notre participation l’an passé nous avait permis de connaitre les grandes directions données par le rapport de la commission « Innovation 2030 » présidée par Anne Lauvergeon, publié le 11 Octobre 2013.

Cette année encore, le programme est riche, nous proposerons notre lecture dans un décryptage à venir.

Cliquez sur l’image pour connaitre le programme.

Le 49e Congrès de la Société d’Ergonomie de Langue Française (SELF) a pour thème « Ergonomie et développement pour tous ».

Les 1, 2 et 3 octobre 2014, Absiskey est présent à La Rochelle pour alimenter ses réflexions et son sujet de recherche à propos de la gestion des connaissances dans les organisations. Plusieurs animations et évènements conviviaux agrémentent cet évènement historique pour les 30 ans du GEDER – Groupement  d’Étude pour le Développement de l’Ergonomie en Réadaptation – qui s’est vu confié l’organisation du congrès.

Ce fut une belle émotion que de se retrouver, le 4 juillet 2014, au Parlement Européen, à Strasbourg. Merci à nos collaborateurs alsaciens pour l’accueil qu’ils ont réservé à l’ensemble du groupe et à leur organisation toujours sans faille.

Rédaction avec collaboration avec Jean-Louis Swiners – http://www.innovation-creative-2.com/

Résumé

Cet article se propose d’étudier les liens existant entre les connaissances et l’innovation dans les entreprises, plus particulièrement les PME. Pour cela, nous nous intéresserons aux notions d’absorption et d’apprentissage pour déterminer la pertinence de leur mobilisation dans l’étude des processus qui mènent à l’innovation. Cet écrit explore les implications de l’utilisation de ces notions, au centre de notre réflexion, pour apporter un nouvel éclairage sur la capacité à innover (ou potentiel d’innovation des entreprises). Cette communication s’attache aux mécanismes d’acquisition, d’utilisation et de création de connaissances, aux facteurs et aux supports (technique et humains) à mettre en place pour les favoriser dans le cadre de l’activité professionnelle, par la gestion des connaissances notamment.

140512_COMMUNIQUE_VF_GeCSO_HGI

Projet de recherche mené avec l’équipe de recherche ERPI à l’Université de Lorraine et cofinancé par l’ANRT.